Objectif
Soumis aux mêmes contraintes physiques que tout autre être humain, je préférerais limiter les phénomènes pouvant m'être désagréables, et/ou préjudiciables à ceux qui m'entourent. La contrainte énergie/climat étant en pôle position des pépins prévisibles et inéluctables, il me semble opportun de participer à la prise de conscience générale du danger encouru et à la mise en place d'actions concrètes.Mise en garde
Je ne suis pas un spécialiste du domaine de l'énergie ou du climat. Je
ne suis pas non plus géologue, astrophysicien ou historien. Je n'ai pas
de légitimité particulière à deviser de ce sujet, hormis mon statut de
citoyen et ma passion pour le sujet. Ainsi, bien que j'essaye d'aborder l'enjeu de la transition énergétique de la manière la plus neutre possible, je reste en proie aux imperfections humaines habituelles que sont les émotions et les sentiments !
Nous sommes constamment abreuvés d'informations, parfois
contradictoires, dans lesquelles il est difficile de faire le tri.
Les médias, souvent à l’affût d'audience, n'hésitent pas à retransmettre
des informations sans les vérifier, jusqu'à en perdre la trace de la
source initiale. Il est temps de se réapproprier l'information, en
allant chercher la chercher à sa source primaire. Ne prenez pas ce qui
est écrit sur ce blog comme allant de soi, multipliez vos sources
d'information et posez vous la question de la fiabilité des références
citées.
Qui suis-je ?
Après m'être défini comme ce que je ne suis pas, je me permets de me présenter, ou plutôt de présenter le contexte qui m'a fait découvrir la problématique énergie/climat. Cela s'est passé au cours d'un parcours classique de type prépa + école d'ingénieur.
En prépa, j'ai eu la chance d'avoir un professeur de physique excellent, qui savait rendre sa matière accessible et passionnante au plus grand nombre. Son credo était le suivant : "Pour comprendre un problème, il faut connaître les ordres de grandeurs en jeu."
Ainsi, lors de mon cursus en école d'ingénieur, orienté industrie aéronautique et automobile, la question des ordres de grandeur s'est imposée d'elle-même. Combien de voitures et combien d'avions sur Terre ? Pour quelle consommation ? Et quel approvisionnement ?
Et là, tout s'accélère... Comme une pelote de laine dont on tire le fil sans fin, chaque réponse à une question cache une autre question. Jusqu'à prendre finalement conscience que l'influence des activités humaines a atteint l'ordre de grandeur terrestre, que ce soit au niveau des prélèvements (dont l'énergie), ou au niveau des rejets (dont le climat).
J'ai donc orienté mon parcours professionnel vers des domaines que je jugeais utiles à la transition énergétique : Bâtiment (45% de l'énergie totale consommée) et nucléaire (75% de notre production d'électricité). Le nucléaire étant un sujet clivant, je tiens à préciser que si je ne souhaite pas particulièrement voir cette technologie se développer massivement, je ne suis pas non plus partisan de son élimination inconditionnelle lorsque l'outil productif est encore fonctionnel, notamment si c'est pour la remplacer par des combustibles fossiles.
Voilà où j'en suis, à mettre mes compétences au service d'un projet de transition énergétique ambitieux, de la meilleure manière que je puisse trouver, que ce soit dans la vie professionnelle ou personnelle. Ce blog en est l'une des pièces.
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